Explorez, écoutez, goutez, contemplez, déambulez….
Pour la première année, le château d’Azay-le-Rideau est ouvert sans interruption de 9h30 à 23h du 11 juillet au 24 août 2014.
Une première pour le «diamant taillé à facettes serti par l’Indre», tel que le décrivait Honoré de Balzac dans Le Lys dans la vallée.
Le chateau
Le château d’Azay-le-Rideau tel qu’il apparaît aujourd’hui fut édifié en cinq ans à partir de 1518.
En ces premières années du règne de François Ier, l’architecture de la Renaissance connaît sous l’impulsion de bâtisseurs fortunés, hommes nouveaux tenant les rênes des finances du royaume, un élan créatif remarquable.Au début du XIXe siècle, malmené par l’usure du temps, le château est racheté et restauré par le marquis Charles de Biencourt, aristocrate libéral dont les fils et petits-fils s’attacheront à faire revivre
l’édifice, lui offrant pour miroir un bras de l’Indre rendu captif au milieu d’un parc romantique.
Aujourd’hui, le château d’Azay-le-Rideau est ouvert au public par le Centre des monuments nationaux.
Les soirées d’Azay
Une programmation qui révèle le château :
Informations
Centre des monuments nationaux – Château d’Azay-le-Rideau
37190 Azay-le-Rideau
Tél : 02 47 45 68 60 – Fax. 02 47 45 26 61
Horaires
Ouvert tous les jours (sauf les 25 décembre, 1er janvier et 1er mai) :
d’octobre à mars de 10h à 17h15
en avril, mai, juin et septembre, de 9h30 à 18h
en juillet et en août, de 9h30 à 19h
du 11 juillet au 24 août tous les jours de 9h30 à 23h00
Tarifs
Plein tarif : 8,50 €
Tarif réduit : 5,50 €
Groupe adultes : 6,50 € (à partir de 20 personnes)
Gratuit pour les moins de 26 ans ressortissants des pays de l’Union européenne et résidents réguliers non Européens sur le territoire français.
Les Soirées d’Azay : sans supplément au droit d’entrée
Accueil
visites libres et visites commentées
visite audio guidée en français, anglais, allemand, italien, espagnol. Durée : 1h15
visite-découverte sous la conduite d’un guide conférencier des Monuments Historiques sur demande pour groupes constitués et scolaires.
© François Tomasi
Commentaires