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On n’oublie jamais la poupée de son enfance. C’est pourquoi Corolle touche autant les petites filles que leurs mamans. Elles se revoient enfant, en train de jouer à la poupée, avec une émotion identique à celle que procure une jolie photo souvenir.

En détail selon communiqué

 

Dans l’ère des jeux éducatifs et électroniques, quelle place peut avoir une poupée au sein d’une famille rivée sur différents écrans ? Elle apporte à l’enfant un support essentiel à son développement sensoriel, affectif et social.

Quelques jours après sa naissance, le bébé personnalise sa première poupée de chiffon ou son doudou, en l’imprégnant de son odeur et de celle de ses parents. Il crée ainsi un environnement dans lequel il trouve une sécurité émotionnelle qu’il peut emmener partout avec lui.
À un an, l’enfant se reconnaît dans le miroir et peut distinguer les membres de sa famille sur des photos. Il est capable d’associer l’image d’un objet dessiné à sa version réelle, de passer de l’abstrait au concret. Sa poupée va l’aider à construire des images de ses premiers émois. Il observe ses parents quand ils le changent, l’habillent, le nourrissent, et imite avec son poupon ces soins qui l’ont tant bercé,
rassasié, rassuré, dorloté.
Vers deux ans, l’enfant grandit. Il personnalise alors sa poupée, en fait son frère, sa soeur, son confident. Il choisit ses vêtements, l’heure de son bain et la couche avec lui.
De 3 À 5 ans, c’est la fin de l’âge « bébé ». La vie peut être dangereuse, il y a des limites à respecter, une maîtresse à qui il faut obéir et des copains pas toujours gentils qui prennent les jouets dans le bac à sable. Il faut même, parfois, injuste frustration, partager ses parents avec un nouveau-né.
Qui, mieux qu’une poupée, peut soulager une petite fille ou un petit garçon de ces contraintes ?
Avec elle, l’enfant peut créer et inventer un monde imaginaire où il obtient et devient tout ce qu’il souhaite. Elle écoute ses chagrins, ses colères et ses confidences sans juger.

Après 5 ans, les enfants découvrent la lecture. L’horizon scolaire devient un enjeu dans le coeur des parents qui ont tendance à oublier que l’imaginaire et la créativité sont essentiels à l’apprentissage.
Ils abandonnent les jeux de « faire semblant » pour ceux qui développent des connaissances.
Pourtant, les enfants sont encore dans le cocon familial où le rôle des parents est observé, mimétisé et admiré.
Jouer au papa et à la maman avec ses poupées est toujours un des principaux centres d’intérêt des petites filles.
À l’école primaire, la poupée devient l’enfant lui-même et ses projections sur son devenir. La silhouette affinée, elle s’est modernisée dans son look vestimentaire et se prête à toutes les coquetteries. Confidente des joies et des peines, elle partage les souvenirs, les jeux, les bêtises, les amis, et même les maitresses.
Vous l’aurez compris, je crois aux vertus de la poupée. Mais elle doit évoluer avec les moeurs.
Alors jouez avec vos enfants à la poupée, transmettez leur le maternage, le paternage et léguez leur un nouveau credo : je suis un ou une adulte, je travaille mais je suis aussi très fier(e) d’être un parent !

Informations
www.corolle.com

 

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