Une fable moderne sur les valeurs familiales haute en couleurs et en émotions
Prenez une nounou pour vos plus petits et sortez avec les plus grands (dès 12 ans), Dejan Ilic, le metteur en scène a transformé la pièce originale en une version à la Kusturica. Vous vivrez des situations de conflit extrême dans cette enceinte familiale… se soldant par des disputes mais dont les protagonistes débordent d’amour au final. C’est une pièce universelle. Peu importe où se déroule l’action, elle fait obligatoirement raisonner en chacun des souvenirs lointains ou proches…
La pièce est transformée sans changer une seule ligne du texte original… Et nous avons passé une excellente soirée et beaucoup ri !
Sylvaine Cohen
Spectacle de Dejan Ilic
Les 16 et 17 mai à 20h et le 18 mai à 17h
Les 23 et 24 mai à 20h et le 25 mai à 17h
Les 30 et 31 mai à 20h et le 1er juin à 17h
Théâtre Michel Galabru
4, rue de l’Armée d’Orient – 75018 Paris
Location : 01.42.23.15.85.
Plein tarif : 22€
Tarif réduit : 14€
Groupes : 11€
Entre 2 et 5 ans
www.theatrefontaine.com
{xtypo_dropcap}U{/xtypo_dropcap}ne famille de tziganes se retrouve chaque vendredi au « Père Tranquille », le bar du fils aîné… et chez les tziganes, la famille est sacrée… jusqu’à un certain point !
Le classique de Bacri-Jaoui réadapté à la sauce Kusturica : personnages « kitschs » et déjantés, délires baroques, onirisme et poésie… sont de la partie pour le plus grand plaisir des yeux… et des oreilles dans une mise en scène de Dejan Ilic.
Tous les vendredis soir, la famille de tziganes se retrouve au « Père tranquille », le café tenu par Henri, le fils « mal-aimé », pour aller dîner tous ensemble au restaurant. II y a la mère, excessive et omniprésente ; Philippe, l’autre fils, adulé, qui a réussi dans une grande entreprise, et puis Betty, toujours célibataire. Ce soir, les choses ne se passent pas comme prévu. Philippe, porte-parole de sa boîte, est passé à la télé ! Il n’a qu’une idée en tête : savoir ce que les gens ont pensé de lui. Accessoirement, c’est l’anniversaire de sa femme, Yolande. Quant à Henri, il attend Arlette, son épouse, qui est en retard un vendredi soir ! Et puis, il y a Denis qui travaille pour Henri et subi la famille. On chouchoute Philippe, on méprise Henri, on rabaisse Denis, on ignore Yolande, en attendant Arlette… La tension monte, les cœurs s’ouvrent et les langues enfin se délient. Philippe n’est peut-être pas ce frère si parfait, Henri ce raté immuable, et puis, aimer n’est peut-être ni honteux, ni preuve de faiblesse… 1h20 de bonheur pur et intense.
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