Un album qui regroupe dix morceaux à la puissance extraordinaire.

Notre avis

Un CD qui vous relaxera pendant que vos bambins chéris joueront aux puzzle dans le salon à côté de vous ou que vos plus grands liront un bon bouquin.
Des mélodies douces (Better) ou plus chaudes aux accents latino (Tell her today) à écouter et réécouter pour notre plaisir des sens.
Sylvaine Cohen

Ce qu’en disent les enfants

Super pour les temps calmes, pas besoin de se concentrer sur la musique mais un fond musical agréable et non agressif.
Etienne, 12 ans

Images

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{xtypo_dropcap}T{/xtypo_dropcap}ell her today aux accents délicieusement latino, better chanson d’amours adolescentes…

Un vrai talent d’écriture de chansons ne peut pas rester un secret. Les chansons évoquent des images fortes. Elles constituent un voyage, de l’adolescence à la maturité, et passent en revue des thèmes tels que la passion, le désespoir et la rédemption.

Skybound regroupe dix morceaux à la puissance extraordinaire. “Better”, une chanson d’amour qui reste en tête. Ce single a cartonné, notamment à cause de son inclusion dans la bande-son de “Run, Fat Boy, Run”, la comédie de David Schwimmer, et a aussi bénéficié d’une tournée récente au Royaume-Uni.

Le premier album de Tom Baxter est paru en 2004, et il s’est écoulé, au Royaume-Uni seulement et grâce au bouche à oreille et à de superbes concerts, à près de 70 000 exemplaires. Le nouveau CD a été produit avec la complicité de Jeremy Stacey, réputé pour son travail avec Sheryl Crow, Roddy Frame et bien d’autres.

Au cours de l’enregistrement, il a peint dix toiles illustrant son interprétation de chaque chanson. Les toiles ont été vendues à ses fans les plus fidèles et une fois l’enregistrement de l’album achevé, elles ont été exposées à Kensington (Londres). "C’était une façon d’emmener le disque vers un public plus large", explique Tom Baxter. "Les toiles ont permis de financer l’enregistrement et d’illustrer le disque." Il entend répéter ce processus prochainement et travaille déjà sur un nouveau projet artistique en corrélation avec son disque suivant. "J’aime cette manière de faire car elle me permet de rester frais : un art se nourrit de l’autre." Un livre regroupant des reproductions des toiles de Tom et des écrits personnels est disponible depuis peu.

Si vous n’êtes pas familier avec l’univers de Tom Baxter, il vous faut savoir que sa vie est sa principale source d’inspiration. Il est né dans le Suffolk, mais a passé la première partie de son enfance en Cornouailles : “Mes parents étaient tous les deux musiciens, ils ont écumé le circuit folk durant les 60’s.” Après avoir pas mal bougé, la famille a finalement tenu un hôtel dans la ville de Bungay, dans le Suffolk, où Tom a passé la fin de son adolescence : “Ils ont travaillé vraiment dur pour faire de l’hôtel un endroit pas comme les autres. Il y avait là une salle de bal et un night-club, le Charlie’s Bar, que tout le monde fréquentait.” Son frère Charlie a appris la batterie, Tom la guitare, et vers l’âge de treize ans, ils ont monté un groupe.

A dix-neuf ans, Tom est parti étudier la musique à Londres mais a davantage fréquenté la banlieue sordide que le cœur de la métropole. Alors que ses amis commençaient à avoir des métiers et des voitures, à s’installer dans la vie, il jouait partout où il pouvait et se faisait claquer la porte au nez par les dirigeants de l’industrie musicale. Ce n’était que le début du processus qui transforme un musicien banal en songwriter parvenu à maturité : “J’ai fait des tas de choses pour payer le loyer et même si c’était difficile, j’ai évité de m’engager dans un vrai boulot pour éviter d’être pris au piège.”
Le public est tellement captivé par ses prestations que si une épingle tombait par terre, on l’entendrait : “J’ai désormais la sensation d’avoir établi une vraie relation avec le public. J’essaie d’être très zen lorsque je suis sur scène car c’est important pour moi de sentir que tout le monde peut être touché par ma musique. C’est mon but en tant qu’artiste. Ce que je souhaite, c’est continuer à écrire d’excellentes chansons.”


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