PEOPLE > Adrian Pasdar est un des personnages principaux de Heroes. A l’occasion du lancement US de la Saison 2, nous avons parlé un peu famille avec lui…
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10 octobre 2007 : {show_category} > PEOPLE
Barbu pour les besoins du tournage de la seconde saison de Heroes, affable et rayonnant de sérénité, Adrian Pasdar a des airs de patriarche empli de sagesse. Père de deux enfants (Jackson Slade, 6 ans et Beckett Finn, 3 ans), l’acteur, rencontré sur le dernier Festival de Télévision de Monte-Carlo, est intarissable sur ses enfants pour peu qu’on lui donne l’occasion d’en parler !
{mosimage}Top-Parents : Vos enfants sont trop jeunes pour voir leur père dans ses différents rôles : comment voient-ils votre célébrité ?
Adrian Pasdar : Plutôt bien. Mon aîné, Jackson, comprend que les gens me reconnaissent et m’abordent dans la rue, mais n’en fait pas trop cas : je crois que pour lui, c’est plutôt banal car après tout, sa mère est elles aussi régulièrement abordée par des fans (l’épouse d’Adrian, Natalie Maines, est la chanteuse du groupe Dixie Chicks, NDLR). Les gens qui nous abordent son en général plutôt sympathiques, aussi ça n’inquiète pas spécialement mes enfants de nous voir ainsi sollicités. Beckett est par contre un peu plus protecteur. Quand des gens m’appellent « Nathan Petrelli » (son personnage dans Heroes, NDLR) ou « Profit » (pour la série éponyme), parfois, ça l’énerve et il rappelle avec ses mots d’enfants que « il s’appelle Adrian ou Papa ».
T.P. : Est-ce difficile d’élever des enfants lorsque les deux parents sont des artistes, avec ce que cela implique au quotidien ?
A.P. : Je vous avoue que ça n’a pas toujours été simple de nous retrouver en famille, de trouver du temps pour nous quatre. J’avoue que depuis que je joue dans Heroes, l’emploi du temps est plus cool. Dans une série comme celle-là, on a des horaires relativement fixes, à de rares exceptions près : ça me permet d’emmener les enfants à l’école le matin, d’être disponible les week-ends, bref, d’être présent. Natalie essaye elle aussi d’être aussi présente que possible, mais avec les concerts aux quatre coins du pays, ce n’est pas toujours facile. Mais je me plais à penser qu’on ne s’en sort pas si mal… on verra ce que les garçons en disent quand ils seront plus grands !
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