« Mes premiers souvenirs de mijotés, écrit l’auteur, je les dois à ma grand-mère bretonne : la traditionnelle blanquette de veau, servie dans une grande cocotte en fonte noire, polie par les ans ; toute la famille réunie autour de la table et le plaisir de partager tous ensemble un plat « mitonné » avec amour. C’est du reste une des raisons principales pour lesquelles je me suis mise à la cuisine : faire goûter à mes enfants quelques unes de ces« madeleines de Proust », leur transmettre le goût des « bonnes choses», pour qu’à leur tour, ils aient envie de reproduire l’expérience. »
Dans ce livre, vous trouverez des classiques de notre cuisine hexagonale, souvent remaniés, car les goûts évoluent.
Vous y trouverez quelques recettes plus exotiques, glanées ici et là auprès d’amis … Au final, toutes ces recettes ont en commun d’être :
– simples, à la portée de tous.
Contrairement à une idée répandue, un plat mijoté ne demande pas des heures de préparation. Une fois la cuisson lancée, on peut vaquer à d’autres tâches.
– économiques.
Les viandes utilisées sont souvent des morceaux de second choix que l’on trouve en promotion ou à des prix tout à fait accessibles, surtout lorsqu’il s’agit de nourrir toute une famille. Grâce à une préparation préalable – une marinade de vin, par exemple, qui va attendrir la viande -et par la magie d’une cuisson lente, ces plats vont littéralement enchanter vos convives à peu de frais.
-pleines de saveurs
Par la multiplicité des ingrédients et cette cuisson à l’étouffée, les arômes ont tout le temps de se développer et d’exhaler. Dernier conseil : une fois que vous aurez fait vos gammes et réussi votre premier mijoté, n’hésitez pas à y mettre votre grain de sel.
Il existe autant de daubes que de régions et même que de grands‐mères. Interrogez la vôtre, recopiez ses carnets, échangez.
Editions SAEP, collection « Les bonnes recettes de ma Grand–‐Mère »
7,80€
53 recettes, 90 pages illustrées,
20cmx20cm
Commentaires