On ne présente plus la Petite Robe Noire … Au delà d’une empreinte mémorable, cette incarnation d’une parisienne élégante, attachante et espiègle ravit les coeurs et inspire des créations parfumées toujours plus séduisantes. Voici comment elle va prendre le volant. Mieux qu’un carrosse , une voiture stylée. Pour promener son sillage et harponner les coeurs, la petite Robe Noire s’offre une voiture ultra raffinée, en édition limitée. Entre elle et la Fiat 500, le coup de foudre est évident. Deux belles maisons ( Guerlain et Fiat), deux icônes inimitables réinventées avec modernité, deux succès incontestables qui n’ont pas fini de captiver…
Permis de séduire!La Fiat 500 s’habille en Petite Robe Noire. La silhouette en mouvement , dessinée par les artistes Kuntzel et Deygas, figure à l’extérieur sur l’aile arrière, joliment déhanchée, enjambant la signature Guerlain, et à l’intérieur , adossée nonchalamment à la signature 500 apposée sur le tableau de bord.
Puisque femme varie, plusieurs tenues personnalisées lui sont proposées. Selon ses envies, elle opte pour…
– Une berline dotée d’un toit vitré panoramique pour admirer en douce monuments, soleil ardent, arc en ciel, nuit étoilée etc…
– Un cabriolet avec une capote noire – électrique s’il vous plaît- pour profiter joyeusement du grand air, de la caresse des rayons et des regards de ses admirateurs.
La voiture est livrée avec un écrin Guerlain généreusement garni.Il renferme les trois robes qui constituent le dressing parfumé de la petite Robe Noire: l’eau de toilette, l’eau de parfum et l’eau de parfum couture en taille 300ml.
Sont proposés également: une trousse de maquillage contenant le lait velours pour peau glamour en 30ml et les fards indispensables d’une séductrice avertie: Terracotta 4 seasons Teinte Nude, Gloss d’enfer et vernis à ongles.
Un carnet de notes( voir photo ci-dessus) issu du recyclage des affiches parisiennes , un étui à carte grise. Qui plus est, l’écrin renferme un ravissant porte clefs dressing ( photo de droite), clippé de 4 charms exquis.
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